À la lecture de nombreuses décisions ou d’avis de médecins du travail contenant des prescriptions médicales pour des salariés, on peut se poser la question.
Le sujet devient de plus en plus crispant dans les entreprises, celles-ci se sentant de temps en temps dépossédées de leur pouvoir d’organisation de l’entreprise.
Nul ne remet en cause l’objectif nécessaire de préserver la santé des salariés et de tout faire pour maintenir dans l’emploi les salariés victimes d’accidents de la vie voire d’accidents dus au travail.
Pour autant, il parait essentiel de bien concilier deux impératifs : le droit à l’emploi et à la santé du salarié et la liberté du pouvoir de direction et d’organisation de l’employeur.
Mais le balancier entre ces deux principes fondamentaux ne serait-il pas en train de se déséquilibrer ?
LA PRATIQUE NOUS DONNE DE NOMBREUX EXEMPLES...